6 novembre 2012

Le lèche vitrine géolocalisé par Shopping Adventure


Site Internet et application mobile à l’appui, Shopping Adventure crée le concept du moteur de recherche de produits géolocalisés pour faire le pont entre l’internaute indécis et le client convaincu en boutique.

Dans le monde du e-commerce, il est un terme qui tend à faire aboyer les détenteurs de sites, un terme qui n’est pourtant sans rapport aucun avec le milieu canin : c’est l’abandon de panier. Ils le connaissent et le maudissent cet instant fatidique où l’internaute, après avoir rempli son caddie (virtuel) de produits (virtuels), se prend à prétexter une réunion parents/profs de dernière minute tout en s’esquivant par un onglet dérobé parce qu’on lui demande ouvertement de mettre la main à la poche pour payer l’addition (réelle). 

Dans les faits, l’abandon de panier est un acte récurrent effectué par une majorité absolue d’internautes (autour de 65%...au premier tour), pour qui shopping en ligne et acte d’achat sont encore loin de faire une  paire de choc. Les consommateurs connectés aiment consulter les sites de e-commerce, ils apprécient grandement de pouvoir recueillir des informations détaillées sur tel ou tel produit, mais les consommateurs connectés ne daignent pas se défaire de leur bonne vieille habitude qui consiste à se rendre directement en magasin pour déplier, palper, se soumettre à la critique, changer de taille et finalement...dégainer le portefeuille. 


C’est en quelque sorte ce décalage entre la pulsion d’achat pour un produit trouvé sur le net et la concrétisation de cette acquisition qui a décidé la société KBRW AD-VENTURE à saisir une niche de marché en développant le concept de Shopping Adventure. Ici il n’est nullement question pour l’internaute de dévoiler son petit pictogramme secret aux manitous de la transaction sécurisée pour se payer une paire de bottes, mais simplement de faire part de ses besoins et de sa situation géographique pour convenir, par une réservation de produit en ligne, d’un échange futur dans un magasin sis dans la zone concernée. 


Dans un premier temps, Shopping Adventure vous invite à rentrer le type de produit qui vous intéresse, puis à préciser la ville où vous souhaiteriez le retirer (vous pouvez également utiliser l’outil de localisation en acceptant de partager votre position).  Le site vous redirige alors vers une liste de produits correspondant à votre requête et classés en fonction des magasins qui se trouve au plus près de vous (on comprend alors tout l’intérêt de l’application mobile).  


Ici vous aurez tout le loisir d’affiner votre recherche : du modèle à la taille en passant par la couleur, la marque ou le magasin lui-même (vous êtes en effet en droit d’avoir une dent contre le vendeur de chez Jules d’à côté), vos critères de sélection vous permettront logiquement de trouver votre bonheur en quelques clics. Jusqu’ici le déroulement des faits ne semble pas réellement éloigné d’un site de e-commerce classique, mais qu’il s’agisse d’une transaction réussie ou d’un abandon de panier, tout se joue toujours dans le sprint de la dernière ligne droite. 


Le voilà donc ce moment tant redouté par les e-commerçants, cet instant précis sur lequel les quatre créateurs de Shopping Adventure ont eu le flaire de leur projet : l’acte de confirmation. C’est ici que se joue la différence, car en lieu et place d’un paiement en ligne qui aurait fait tirer la langue à plus d’un, le site vous propose de joindre la boutique par téléphone pour réserver votre référence. Vous n’aurez plus alors qu’à vous rendre sur place pour saisir votre paquet et régler votre commande.

Il faut le savoir l’appel de réservation vous coûtera 1,34€ et 0,34€ par minute, mais rien ne vous empêche de vous ruer directement sur l’offre en sachant que vos bottes bleues taille 38 sont disponibles à 84 mètres de là. De plus, les produits et magasins étant géolocalisés, vous disposez d’un itinéraire tout tracé vers vos futures chaussures (du plan 2D à Google Street View). Par ailleurs, la dimension sociale d’un site ou d’une application étant aujourd’hui l’un des facteurs clé de succès, sachez que vous pourrez également partager le détail de votre produit réservé (ou convoité) sur Twitter, Pinterest et Google +.  

À ce jour, Shopping Adventure recense 800 000 produits pour 6 000 magasins partenaires et déjà de grands noms tel que Etam, Promod, Boulanger ou Castorama. Prêt à porter, électroménager, déco, jardinage ou bricolage, la liste des références est déjà bien garnie et devrait s'étoffer au fil des nouveaux partenariats contractés par KBRW AD-VENTURE. Sachant de surcroît que le comparateur de produits Google Shopping deviendra payant en France dans les mois à venir alors qu'il servait de véritable levier de référencement pour les sites de e-commerce, on peut aisément présager d’un avenir radieux pour les créateurs du lèche vitrine géolocalisé.


26 octobre 2012

D’une idée en carton à une platine vinyle originale, il n’y a qu’un pas !

Quand une maison de disques en perte de vitesse fait appel à une agence de communication pour redorer son blason, il faut s’attendre à tout, même à écouter un disque vinyle sur une platine en carton..


Certes, nous sommes déjà bien loin du jour de l’invention de la platine vinyle en carton, système (D) qui a certainement déjà dû faire l’objet d’un zoom spécial dans un vieux Picsou Magazine. Cependant il faut l’avouer, le moment était choisi de surfer à nouveau sur la vague analogique, eu égard au franc succès de l’opération de communication imaginée par l’agence Grey pour les besoins de la maison de disques canadienne GGRP. Ces derniers avaient décidé de s’offrir les services du communicant dans le but de redonner plus de visibilité à label vieillissant, et de rentrer plus facilement en contact avec les producteurs de talents du continent.

Un brief créa plus tard, l’idée était lancée : 300 colis messagers seront expédiés au nom de GGRP, directement dans la boîte aux lettres de producteurs, directeurs de création et autres grands manitous du tube de l’été. Ces colis contiendront chacun un disque 45 tours emballé dans une pochette en carton...pochette qui servira de lecteur pour décrypter le message contenu dans la galette.

Simplifié à l'extrême, le système permet en fait de lire les microsillons du disque en exécutant un simple mouvement de rotation à l’aide d’un stylo. Après un jeu de pliage enfantin, la boîte cartonnée se transforme en platine autonome, avec socle rotatif et cellule de lecture intégrée. Il ne reste plus à l’utilisateur qu’à déposer le vinyle et le faire tourner à vitesse régulière dans le sens indiqué pour diffuser le contenu sonore (soit un message de promotion de la firme GGRP).

Le résultat en vidéo :

25 octobre 2012

Gérer sa stratégie de Netlinking pour améliorer le référencement naturel d’un site web

Le Netlinking (ou stratégie des liens externes) est l’un des fers de lance de l’optimisation “off page” d’un site web. Employé à long terme, il permet d’améliorer le référencement naturel dans les moteurs de recherche  


Pour obtenir une bonne place dans les moteurs de recherche, un site Internet doit être autant optimisé sur des critères “on page” (sur la page) que sur des critères “off page” (en dehors du site). En effet la synergie de ces deux éléments est aujourd’hui devenue indispensable, et la dernière mise à jour de l’algorithme Google Penguin ne viendra pas démentir ce fait, bien au contraire.

Optimiser la partie “off page” de son site, c’est avant tout entreprendre une stratégie de “linking” en multipliant les liens entrant depuis des sites externes vers les différentes pages de son site (backlink). Attention cependant, il ne s’agit pas de bombarder la toile en faisant pointer des millions de de liens choisis au hasard vers sa page d’accueil...les robots de Google ne se feraient alors pas prier pour infliger des pénalités pour non respect de sa “charte” et pour noyer votre site au fin fond de l’index. Le Netlinking doit être structuré, pensé, voire déguisé pour s’intégrer naturellement dans la logique Googlienne et pour que le site en question conserve et améliore son rang en restant dans les petits papiers du big boss de la recherche. Voici donc une série de points à prendre en compte afin d’assurer une bonne gestion de sa stratégie de liens :

No Nature, no future
Dans sa quête effrénée de la pertinence, Google tend à toujours apporter une réponse logique aux questionnement des internautes. Ainsi, l’un des critères les plus importants d’un Netlinking réussi est de garder à l’esprit que si vous n’agissez pas de façon naturelle, il y a de grandes chances que vous ne parveniez pas à conserver de bonnes relations avec la firme de Mountainview. Qu’il s’agisse du texte du lien (anchor text), de son emplacement, de la fréquence à laquelle vous les publiez sur la toile ou de leur destination, rien ne doit être mécanisé ou trop répétitif : seules des interventions naturelles (du moins au paraître) doivent être mises en place.

Se diversifier à la source
Plus les sites externes sur lesquels vous publiez vos liens sont de type variés, plus votre action semblera naturelle aux yeux de Google :

  • optez pour des sites importants, et d’autres moins importants - de la taille à la notoriété
  • optez pour des sites jeunes, et d’autres plus “âgés”
  • favorisez les balises de liens “follow”
  • ne négligez pas pour autant l’attribut “nofollow”
  • favorisez les sites traitant d’une thématique commune avec votre activité
  • ne négligez pas pour autant les thématiques qui s’en éloignent ou qui n’ont aucun rapport
  • favorisez les sites hébergés dans votre pays  et dans votre langue cible
  • ne négligez pas pour autant les autres langues et/ou pays
  • diversifiez les annuaires, les blogs, les sites traditionnels
  • pensez à la dimension sociale : réseaux sociaux, forums, commentaires, etc..
  • évitez la réciprocité des liens (tu pointes vers moi donc je pointe vers toi) et les schémas triangulaires.
  • ne bannissez pas pour autant ces pratiques d’échanges

Se fondre...mais pas dans le décor
Pour qu’il apparaisse naturel aux yeux de Google, un lien doit être ancré dans un contexte sémantique, comme s’il était noyé (disons plutôt comme un poisson dans l’eau) dans une zone de contenu rédactionnel jugée utile à l’internaute. En effet, votre lien aura tendance à être dévalué s’il est inséré dans l’habillage (logo, marge, en tête, pied de page) ou coincé dans un bloc de liens multiples comme “les partenaires de la société X”. L’idéal reste donc de le(s) placer au coeur d’un texte qui se rapporte à l’ancre du lien (les mots/la phrase sur lesquels l’internaute clique pour être redirigé vers l’URL de destination, autrement dit “anchor text”). Ainsi si vous souhaitez optimiser votre référencement en utilisant l’expression clé “location de vacances”, évitez par exemple de placer vos liens dans un texte qui traite d’agriculture bio...    

Ne pas perdre l’échange
Peut être avez vous tissé un partenariat avec une autre société, qu’elle soit sur le même secteur que le votre ou non, et peut être avez vous eu l’idée de pratiquer un échange de liens entre vos deux sites web. Attention à cette pratique, ou du moins à la façon de la mettre en place. Dans les faits, et lorsque c’est bien fait, cela peut s’avérer très avantageux pour améliorer le référencement des deux sites concernés. Mais si d’un bord comme de l’autre, les liens sont répétés sur toutes les pages avec des ancres optimisées, il y a de grandes chances que l’algorithme Penguin viennent à vous donner un coup de bec, et ce sans faire de jaloux. Ainsi, un unique lien placé sur la home page ou sur une page qui se rapporte à votre domaine sera suffisant pour réaliser un échange de bons procédés.

Varier le texte du lien (anchor text)
C’est l’un des éléments majeur qui permet de tendre vers une stratégie de Netlinking efficace. Et encore une fois, plus les textes des liens pointant vers vos pages seront diversifiés, plus votre action paraîtra naturelle, et plus elle aura de chances de profiter à l’amélioration de votre positionnement. Concrètement, si vous avez par exemple une page “A” avec des annonces pour louer des résidences en bord de mer et que vous placez toutes vos ancres de liens sur le texte “location bord de mer”, Google ne tardera pas à vous reprocher ce jeu d’astuce. Dans le cas contraire, si vous optez pour l’ancre “louer un appartement à la mer” sur un article de blog et que vous publiez un nouvel article sur un autre site, avec le lien “location de logement à la plage”, vos publications paraîtront moins automatisées, plus “humaines”, donc plus pertinente. Il vaut donc mieux changer ses habitudes pour ne pas être suspect et placer tantôt :

  • une ancre sur une requête phare (location vacances)
  • une ancre sur des mots clés importants se rapportant à la requête phare (location saisonnière en bord de mer)
  • une ancre avec des synonymes ou sur une sémantique similaire (louer un appartement à la plage)
  • une ancre avec le nom de la société, celui d’un membre de l’équipe
  • une ancre générique (cliquez ici, plus d’info...)  

Enfin, privilégiez un extrait de phrase à une association de mots qui sonne “requête” (achat poisson), et évitez les fautes d'orthographe et les erreurs de syntaxe.

Garder le rythme, et le bon
Une autre notion importante pour un bon Netlinking figure dans le rythme de parution des backlinks. À en faire trop d’un coup, vous risquez la pénalité car on le sait, Google analyse chaque nouvelle page, chaque nouveau lien et enregistre toujours la date des publications, comme pour y attribuer un âge. Dans ce sens, si votre site est assiégé de centaines de backlinks sur une journée et qu’il n’en reçoit plus aucun pendant les mois qui suivent, l’algorithme aura tendance à suspecter une intervention humaine forcée. Par contre, si votre site reçoit un ou deux backlinks de façon régulière (mais pas trop) et que cette fréquence perdure, il y a des chances que ces liens soient jugés comme étant naturels, pertinents, donc de qualité.  

Changer de destination
Même si la page d’accueil vous semble être l’élément le plus important sur votre site, il est plus judicieux de ne pas concentrer toute sa stratégie de Netlinking sur cette seule et unique destination principale. Les pages profondes doivent également être utilisées et pointées par vos liens. Elles permettent d’ailleurs souvent de varier l’anchor text : si un lien peut pointer vers la page d’accueil “locations bord de mer”, un autre pourra rediriger l’internaute directement vers la page “locations bord de mer en bretagne”.

Pousser au clic et s’imposer au rebond
Il faut se le dire, le comportement de l’internaute reste l’un des principaux facteurs pris en compte par Google pour apprécier de la qualité et de la pertinence d’un site. Transposé à la stratégie de Netlinking, on peut en déduire que plus un lien sera cliqué, plus il aura d’impact et de poids. Ainsi, si votre lien est bien construit et qu’il incite le lecteur a cliquer, s’il semble apporter une réponse au questionnement de l’internaute, alors il sera jugé comme étant un lien de bonne qualité. En revanche, un lien n’ayant généré aucun clic aura tendance à être dévalué par le moteur de recherche. Attention cependant, car si un lien paraît être un bon générateur de clics mais que la page de destination ne semble pas satisfaire l’internaute (s’il quitte cette page rapidement après l’avoir consulté : on parle alors de taux de rebond), la qualité du lien risque d’être rapidement amputée. À l’inverse, plus le taux de rebond associé à votre lien sera bas, plus ce lien sera apprécié à sa juste valeur par les robots du moteur de recherche.

En définitive, une stratégie de Netlinking bien menée doit avant tout être naturelle et “humanisée”. Plus vous laissez de chances à Google de percevoir une automatisation de vos pratiques, plus vous prenez le risque de chuter dans son index. En effet, le géant américain s’applique dans chacune de ses évolutions à donner une place de choix aux échanges entre humains. On le constate notamment par l’importance croissante qu’il semble prêter à la dimension sociale véhiculée par les plateformes comme Facebook et Twitter, des réseaux sur lesquels il faudra obligatoirement compter dans un avenir proche pour rester visible aux yeux des internautes. Il faut également garder à l’esprit que même si cette analyse est le fruit d’une réflexion mutualisée entre différents experts du SEO, elle reste totalement tributaire des actions menées par Google qui semble se complaire dans sa logique de mutation et d’évolution perpétuelle. 

Ainsi, ce qui est affirmé aujourd’hui sera peut être partiellement ou entièrement démenti dès demain sous l’influence d’un algorithme changeant, pour lequel la vérité semble bien souvent être ailleurs...

  

Un confiseur enregistre sa musique punk sur un disque vinyle en chocolat !

Ancien punk croate reconverti confiseur, Marinko Biskic a tenté un pari fou et gourmand : enregistrer ses anciens titres sur des vinyles en chocolat 


Partager deux passions peut parfois être compliqué lorsqu’il s’agit de jongler entre deux univers distincts, mais lorsqu’on a de l’imagination et que l’on s’applique à conjuguer le tout, cela peut parfois offrir des résultats très originaux. La dernière invention de Marinko Biskic, ancien punk devenu confiseur dans la ville de Split, ne viendra pas contredire cette affirmation.

Son idée ? Ressortir les titres de son groupe punk des années 70 sur un disque vinyle...en chocolat ! Et dans les faits, le vinyle tourne sur la platine, souffle et craque à la manière des vieux disques, diffuse la musique de Marinko Biskic, et se laisse même manger avec goût.

L’inventeur Croate affirme que le vinyle en chocolat peut être joué jusqu’à 20 reprises dès lors qu’il est conservé au froid. Et fait marquant, il a déjà vendu plus de galettes en chocolat (et on parle bien de vinyles) que de vinyles d’époque, lorsqu’il jouait encore avec son groupe punk.    

Et vous pour votre prochain 33 tours, plutôt cacao amer ou praliné noisettes ?

27 juillet 2012

Boomerang pour Gmail : un outil efficace pour gérer et organiser sa boîte mail

Dans la jungle des courriers électroniques, on peut parfois s’y perdre et passer à côté d’un mail, oublier d’en envoyer un autre important...Boomerang vous permet de ne rien manquer.  

Lorsque l’on utilise sa boîte mail de façon quotidienne et que l’on envoie ou reçoit de nombreux messages, il devient parfois difficile de s’y retrouver : on sait avoir vu passer un mail de haute importance de la part de H, mais on ne le retrouve ni dans sa boîte de réception ni dans sa corbeille...on reporte la lecture d’un courriel de Y que l’on a déjà ouvert, avant de s'apercevoir une semaine plus tard que l’on a totalement oublié d’y revenir...on transmet une demande urgente à M qui demeure sans réponse, et l’urgence passe aux oubliettes...si ces situations vous évoquent quelque chose, Boomerang pour Gmail vous sera certainement très utile.

Les 3 fonctions de Boomerang Gmail:

  • Reporter l'envoi d'un email : Boomerang vous permet d’envoyer un mail à heure et/ou date choisie. Une simple bouton “send later” apparaît lorsque vous créez un nouveau message, vous offrant la possibilité de reporter votre envoi à une heure précise ou à une date spécifique. Lorsque vous avez précisé le moment auquel vous souhaitez qu’il soit envoyé, votre message se place automatiquement dans la “boomerang-outbox” et attend sagement l’instant T pour suivre son chemin. Cette option peut être très pratique dans de nombreux cas : si vous souhaitez par exemple faire parvenir une information à un client/un collaborateur tout en restant discret sur l’heure à laquelle vous écrivez votre message, si vous travaillez à l’international sur des fuseaux horaires différents, si vous voulez vous assurer d’être le premier à souhaiter un anniversaire à minuit pétante...

  • Rappeler la lecture d'un email : Si votre boîte de réception est inondée de messages en permanence et que vous avez tendance à en laisser de côté involontairement, Boomerang peut  vous aider à vous organiser. Ici, quel que soit le message que vous ouvrez, vous pouvez y appliquer la fonction de rappel. Dans les faits, vous demandez à Boomerang de replacer un message comme “non lu” dans votre boite de réception à la date et à l’heure qui vous conviennent le mieux. Une nouvelle fois, cela peut s’avérer très utile le jour où vous n’avez pas le temps de vous pencher sur une demande et que vous envisagez de vous y atteler la semaine d’après , ou si vous n’aimez pas que votre boîte de réception soit trop encombrée (dans ce cas, vous pouvez archiver tous les messages que vous souhaitez, tout en précisant le moment auquel aurez besoin de les avoir à nouveau sous les yeux).     
  • Prévoir un accusé de non-réponse :  Lorsque l’on transmet beaucoup de mails et que l’on possède un répertoire composé de nombreux clients, on peut rester de longs moments dans l’attente d’une réponse, et parfois même oublier que l’on attend un retour. Dans ce cas, une information de haute importance peut s’évaporer et retarder un projet commun. Cette situation commune à de nombreux gestionnaires de clientèle peut être évitée avec Boomerang via la fonction de rappel en cas de non-réponse. Toujours sur le même principe, vous disposez d’une option à cocher (“boomerang this message”) lorsque vous rédigez votre message qui vous permet de replacer ce dernier dans votre boîte de réception, en cas de non retour (“if I don’t hear back”), comme en cas d’échange effectif (“even if someone replies”). Encore une fois, vous définissez l’heure et la date de votre “piqûre” de rappel. 

Boomerang Gmail en vidéo :



Installer Boomerang Gmail :

Faut-il le préciser, Boomerang ne fonctionne que sur Gmail...inutile donc de chercher à l’installer sur votre centre de messagerie Hotmail, la Poste ou Yahoo. Gratuit, l’outil est compatible sur les navigateurs Firefox, Chrome et Safari. Vous pouvez donc vous rendre sur la page d’installation Boomerang et suivre la procédure pour commencer à utiliser ses fonctionnalités. Vous pourrez également trouver l’application Boomerang sur les boutiques en ligne pour l’installer sur votre smartphone (0,79€ sur l’App Store).